Les paradoxes de Zénon: saurez-vous les résoudre?

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Djinnzz

Créateur et rédacteur d' EtaleTaCulture

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8 Réponses

  1. Avatarclic dit :

    Intéressant, belle initiation aux concepts de suites convergentes/divergentes.
    Y’a pas à dire, c’est quand même putain de bien foutu, les maths! 😎

  2. Avatarloanne dit :

    très bien expliqué ! jai tout compri ! 😛

  3. AvatarVee dit :

    Ces trucs théoriques, c’est comme les paradoxes temporels… Il y a longtemps que j’ai abandonné l’idée de les comprendre…

  4. AvatarCharlie dit :

    Bonjour à tous. Juste pour vous dire que j’ai bel et bien résolu cette affaire et Ce ne sont plus des paradoxes. Je ne peux decemment pas delivrer l’explication telle quelle, sur ce site, mais oui. C’est une nouvelle page de l’histoire de la connaissance de notre Univers qui demarre.

    Bien à vous.

    Charlie

  5. Avatarcloclo dit :

    Il est donc faux de dire qu’il y a une infinité d’éléments (démonstration par l’absurde).

  6. Avatartatoute dit :

    Humm, le fait qu’une série converge ne prouve rien, car la notion de convergence n’aide pas…

    la serie xₙ converge vers X quand n➔∞ signifie que pour tout strictement positif que l’on choisit (aka aussi petit qu’on veut), On sait trouver n tel que |xₙ – X| X f(x) est égale a f(X).
    donc si le déplacement de la flèche est continu, la flèche touche la cible.

    La profession de foi est la suivante:

    En vérité je vous le dis:
    ************ Le mouvement de la flèche est continu. *************

    En gros la solution proposée au paradoxe est d’affirmer qu’il est faux… belle affaire.

    Cela revient a affirmer que l’espace temps est continu, et que la flèche est un segment de droite.

    Or la flèche n’est pas un segment de droite, c’est un ensemble d’atomes entourés par un champ de répulsion électrique. Le soit disant contact entre la flèche et la cible n’est qu’une action a distance, en dessous de quelques nanomètres, les électrons de la flèche et de la cible se repoussent.

    Donc une solution du paradoxe est de prendre = 1nm, on trouve alors que pour n de l’ordre de 40, la flèche commence a interagir fortement avec la cible.

    On peut essayer de reposer le paradoxe avec des forces de plus en plus courtes, et là va se poser le vrai fond du paradoxe: est-ce que le temps et l’espace sont continus…

    L’évolution des connaissances pourrait bien nous montrer que non. La mécanique quantique a une tendance à discrétiser les choses… et son apparente contradiction avec la relativité est peut etre simplement issue de la nature supposée continue de l’espace temps… qui sait?

    • Avatartatoute dit :

      désolé, le caractère epsilon a disparu du texte

  7. Avatartatoute dit :

    J’ai oublié de signaler que les champs quantiques étant par nature sans limite, la flèche touche déjà la cible avant de partir.

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