« La Bourse, j’en ai rien à cirer! » ou l’histoire d’une boulette qui coûte cher

Djinnzz

Créateur et rédacteur d' EtaleTaCulture

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5 Réponses

  1. André dit :

    Un rappel totalement raccord avec l’actualité: Edith Cresson fait en ce moment-même parler d’elle pour s’être exprimée de façon très crue contre un camp de Roms qui stationnent devant chez elle et qu’elle souhaite faire évacuer.

    Mais c’est pas grave, elle est de gauche, donc on lui pardonne (sic)

    Quant à JM Ayrault, un récent sondage (3 décembre 2013) place sa cote de popularité à 18%. Il réalise l’exploit de battre le record d’Edith Cresson qui était, elle, à 22%.
    Mais celle-ci avait eu le bon goût de démissionner…

    • ReZ0 dit :

      Vous, on sait de quel bord politique vous vous placez…
      Sa démission ne réglera pas le problème. Qui voulez-vous mettre à sa place?

    • Tanouka dit :

      Personne ? Recoller les morceaux devient à la foi le fer de lance et l’excuse préférée des Français, inactifs, à l’affût du moindre pas de travers, parlant de politique comme on parle des peoples…

  2. Rissan dit :

    C’est peut-être une première en France, mais d’autres pays en Europ et et dans le monde avait déjà mis une femme à la tête d’un Etat ou d’un gouvernement (Margaret Thatcher, Golda Meir, Indira Ghandi, Benazir Bhutto,…)

    Edith Cresson, à mon avis, n’a pas mesuré l’enjeu de son poste et son plus grand tort est d’avoir eu une stratégie de communication désastreuse. A vouloir trop jouer sur la corde du « franc-parler » elle a accumulé les impairs et l’opinion publique s’est naturellement retourné contre elle.

    C’est d’autant plus dommage qu’en tant que première femme premier ministre, elle aurait dû avoir un comportement exemplaire pour faire taire les machistes. Ce qui est sûr, c’est que son échec n’a pas fait avancer la cause du féminisme… (ce que je ne trouve pas plus mal, je suis contre le féminisme érigé en combat socio-politique, mais c’est un autre débat).

    La prochaine première ministre sera sans doute Martine Aubry, du moins c’est ce qui se dit parmi les médias bien informés. Pas sûr là encore qu’elle ait les épaules pour endosser le costume de « femme providentielle », car c’est justement de cela dont la France aurait besoin pour que le Français reprennent confiance en les instances et les hommes qui les gouvernent.

  3. K dit :

    Pitié, ne vous mettez pas à parler politique!!!
    Ras la casquette de tous ces incompétents qui vivent sur le dos de la République sans en glander une.