[Poésie] Le sens caché du « Bonheur est dans le pré »

Djinnzz

Créateur et rédacteur d' EtaleTaCulture

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15 Réponses

  1. Maverick dit :

    Je connaissais également cette « comptine ».
    J’en ignorais totalement le sens caché. Merci pour cette mise au point. C’est vrai que c’est assez scandaleux de détourner ainsi le sens d’un texte.

    Parmi d’autres exemples, il y a la chansonnette sur le roi Dagobert (qui a mis sa culotte à l’envers paraît-il) qui est en réalité un chant révolutionnaire.

  2. louiza dit :

    bonjour mon prof me demande ques quil file danss la poesie moi j ai mis pepita vu qu i nous a dit de marquer uese qu on veut don voila mon conseille si vousaver marquer un message merci beaucoup celui qui regarde merci encors

    • Djinnzz dit :

      Je pense être à côté de quelque chose… Mais je n’ai rien compris à ce message!

  3. Laurent dit :

    Le message principal du poème c’est surtout de profiter du bonheur avant qu’il ne passe, parce « la vie c’est comme le Tour de France, on l’attend longtemps et ça passe vite. »

    • Colette PICARD dit :

      C’est également mon avis, le poème vu dans ce sens est déjà fort.

  4. TPMP dit :

    Parfois lorsque le sens est trop caché, il faut aussi se demander à qui incombe la faute de la mauvaise interprétation.

  5. gisele garcia dit :

    Si au lieu de « bonheur » Paul Fort avait écrit « bon heur », peut-être que les enseignants y auraient décelé le vrai sens du texte …

  6. Bernard dit :

    Le bonheur à filé
    Place au malheur !
    Ces paysans de France
    Ne sont devenus que
    Chair à canon .
    Souvenir d’un bonheur
    Enfui
    Enfoui
    Dans leur mémoire .

  7. François dit :

    Bonsoir,

    Je ne comprends pas bien. Paul Fort a écrit ce texte pour ironiser sur le sort des poilus ?
    Qu’il l’ait écrit en 17 est un peu léger pour conduire une interprétation.
    ALors, oui, il y a le mot « bélier ». Mais on pourrait lui faire dire bien d’autres choses : la vigueur, la force virile, que sais-je ?
    Certes, l’ache aurait été la fleur des défunts dans l’antiquité, mais cela a été vite remplacé par un symbole de joie puis de noblesse. Le serpolet serait plutôt une plante pleine de vertus.

    Bref, il faudrait citer des sources, je trouve cette interprétation un peu légère.

  8. Valérie Lunier dit :

    Moi j aurais pensé que le bonheur est dans toutes choses y compris en nous même. Que le bonheur ç est simplement être en vie, en avoir pleinement conscience et en profiter chaque jours.

  9. jeanine bils dit :

    Pourquoi cette interprétation, sur quelle base ? Une petite explication serait la bien venue. Merci.
    Sans cela, je continuerai à penser : le bonheur, il faut en profiter tant qu’il est là, ne pas le lisser filer

  10. muller dit :

    Coté enseignants, j’ai vu bien pire… : un prof qui ajoute un « e » à « La chair est triste , hélas ! Et j’ai lu tous les livres » et expliquant que Mallarmé était prof et lassé d’enseigner

  11. Karhu dit :

    À s’en tenir au texte, rien ne laisse entrevoir les horreurs sur lesquelles se fonde votre interprétation. Par contre, en fait d’horreurs, et si vous me permettez de vous citer, je lis : «Pourtant, derrière cette apparente légèreté, se cache (sic) les horreurs…».

    N.B. Une mention pour muller et la vive clarté que jette l’interprétation de son professeur sur le texte mallarméen après correction d’une coquille, vieille de 150 ans et qui a égaré des générations sans nombre d’exégètes.

    #balancetontypographe

  12. Hamou dit :

    Par le biais des nouvelles technologies de communication c’est tout le monde qui prétend être le détenteur de La vérité, Sa vérité.
    Les conspirationnistes, à leurs têtes « Donalt Trump – l’orthographe est de moi », un idiot heureux, veulent remettre en cause – SANS ARGUMENTS À L’APPUI, une exigence scientifique pour étayer la vérité, des millions d’années d’expérience et d’évolution humaines.

    Monsieur, c’est votre droit de faire cette lecture; mais pour rouler les gens dans la farine, il vous manque ce produit: l’argumention. Il va falloir faire appel à la Poétique en général et française en particulier. Je vous conseille Roman Jacobson, Todorov… pour commencer.
    Ces derniers auteurs, excusez du peu, en rapport au sujet ici discuté, ont fait leurs preuves et défendu leurs thèses devant un membre du juré scientifique avec succès et confrontés des années durant celles-ci à des générations d’étudiants.
    On ne débarque pas de nulle part, un jour, pour remettre en cause la circonvolution de la terre au tour du soleil, mis à part si l’on est Galilée et faut-il encore avoir vécu au 17e siècle de l’ère chrétienne.
    Modestement bien vous.

  13. Brigitte dit :

    Étale ta science ,
    Une œuvre d’art résonne en chacun de nous différemment. Que ce soit un tableau, une musique, une poésie ou autre , cela vient nous remplir ,nous parler , nous imbiber d’une manière particulière dans l’instant. Quelle que soit l’œuvre, pourquoi vouloir à tout prix la regarder avec notre mental et notre culture alors qu’elle est faite pour faire vibrer une sensibilité. C’est gâcher l’œuvre de ne pas la laisser venir à nous comme cela est plutôt que de l’enfermer d’emblée dans des étiquettes. Celle-ci parle de la course vers le bonheur , un bonheur qui semble inaccessible….Qu’est-ce que cela vous fait ? Comment la diriez-vous ? Quel gâchis de ne pas laisser l’art retentir en nous !