L’origine étonnante du mot travail… et les problèmes qui en découlent !

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Djinnzz

Créateur et rédacteur d' EtaleTaCulture

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9 Réponses

  1. AvatarPat dit :

    Haha ! Excellent !

    Je le savais, qu’il y avait anguille sous roche avec le travail… Demain, je démissionne !!!

  2. AvatarOoO dit :

    C’est bien, les autruches.

  3. AvatarHerrMüller dit :

    Y’a un article sur mediapart qui démythifie cette origine il s’appelle l’arnaque de l’étymologie du mot travail et se base sur différents travaux de linguistes.

  4. Avataraud dit :

    Oui j’ai lu cette article aussi, alors d’où vient le mot travail finalement ?

  5. AvatarThierry RIEFFLE dit :

    Bravo Maestro, bel article

  6. AvatarAnthony dit :

    Discours fortement idéologique… Il est difficile d´affirmer comme « vérité » une étymologie qui fait débat entre linguistes. Il aurait été plus juste de présenter cet article comme un point de vue.

  7. AvatarChantal dit :

    Bravo pour ce travail ou cette recherche:
    Puisque cette mémoire vient de choses très lointaine ,donc présente dans notre inconscient:
    peut être il suffit de changer le mot travail pour qu’il n’occasionne plus de maux… alors tous à notre imagination…

  8. AvatarPatrice dit :

    Le mot travail est un mot très positif, au contraire de ce que votre article suggère. La meilleure source d’info du net à propos de ce mot reste https://blogs.mediapart.fr/flebas/blog/240316/l-arnaque-de-l-etymologie-du-mot-travail que je conseille de lire. Même le « travail » d’une femme en train accoucher est quelque chose qui mène si réussi au bonheur. Le travail est ce qui permet à un effet de pouvoir se produire de manière sûre ou assurée. En sciences ou ailleurs on l’utilise pour décrire l’effort nécessaire à un accomplissement. Sa connotation est extrêmement POSITIVE. Que notre employeur nous rende la vie difficile n’a rien à voir avec la signification du mot travail, car bien souvent au « travail » on nous empêche malheureusement de « bien travailler ». Travailler ce n’est pas être exploité…Je rajouterai qu’un « travail » bien effectué et qui nous sert et nous enrichit intérieurement, est la source de toute vraie satisfaction dans la vie…

    • AvatarJonathan dit :

      Chacun prendra la source qui lui plaira, mais il n’y a pas de vérité absolue. En revanche, le rédacteur ici parle de choses concrètes qui se vérifient dans le quotidien et qui alimentent clairement cette hypothèse que le travail est encore largement une contrainte et pas du tout une activité choisie.

      De toute façon, l’exploitation et l’aliénation commencent à partir du moment où l’on est obligé d’exercer une activité pour survivre, activité dont il s’avère qu’elle est la plupart du temps subie (du fait d’un marché de l’emploi capricieux, couplé au chantage aux prestations sociales de la part de l’Etat). Tout le reste c’est de l’hypocrisie. On peut s’accomplir de bien des manières. Les personnes qui s’accomplissent dans une activité marchande et qui régit leur vie du matin au soir, plus de 40 ans de leur vie, se font rares. C’est un luxe, surtout aujourd’hui en plein triomphe du néolibéralisme où on encourage en permanence à désengager l’Etat de ses missions premières, à commencer par celle qui est de garantir une vie digne à chaque individu.

      En fin de compte, si l’emploi est aujourd’hui érigé en vecteur de bonheur, c’est parce que nous sommes dans une économie marchande, dans laquelle on ne survit pas sans argent, et dans laquelle les valeurs glorifiées sont primitives (axées sur la compétition, la prédation et l’esclavage). De fait, l’espèce évoluée que nous prétendons souvent être devrait commencer par utiliser l’automatisation et le progrès technologique pour créer l’abondance et changer radicalement de paradigme social et économique. Alors, les êtres humains choisiraient véritablement leur mode de vie et leurs activités, qui seraient à ce moment-là davantage tournées vers la créativité et le développement personnel, et donc une vie sociale bien plus saine et pas pervertie par les considérations mercantiles et matérialistes qui privilégient l’orgueil et l’Avoir au détriment de l’Être.

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