La presque véritable histoire de Jack-o’-Lantern

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Djinnzz

Créateur et rédacteur d' EtaleTaCulture

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8 Réponses

  1. AvatarJoel dit :

    Je suis très friant de ce genre de légendes, et votre façon de les raconter me plaît beaucoup!
    Je m’étais déjà poser la question sur l’utilisation des citrouilles à Hallowean, j’ai maintenant ma réponse, et je ne suis pas déçu! Une bien belle histoirre à raconter aux enfant un soir d’orage 😈

  2. Avatarcensure dit :

    Excellente histoire!

  3. Avatarjean dit :

    Une legende intéressante que je ne connaissais pas du tout.

  4. AvatarJe n'ai pas de nom :) dit :

    Ça me rappelle une autre légende… Bretonne ou un truc du genre ^_^ il demandait des dons au Diable et après il s’en servait contre lui 🙂

  5. AvatarHallo dit :

    Hier soir, j’ai envoyé chier les gamins qui sonnaient à ma porte.
    J’ai pensé à vous 😎

  6. Avatarbetty dit :

    bonjour
    FAUX rien à voir ni même avec les irlandais sauf qu’ils ont exportés cette légende qui ne leur appartient pas dans leur histoire mais dans la notre celle de la FRANCE, légende antique qui remonte en l’an 600 de SIRE HALEWYN seigneur de guerre sanguinaire et féroce,et son peuple répandit cette légende qui était un chant. Comte de flandre se convertira catholique suite au décés de son épouse bien aimé puis moine et deviendra saint BAVON son nom sera donné à la cathédrale de GAND, ses descendants sont nombreuses j’en suis une et je détiens l’ouvrage de 260 pages sur l’histoire et généalogie de 1300 à 1926 de cette famille qui porte le nom de HALLUIN du même nom que la ville au nord de la France, des documents et cette légende s’y trouvent,

    je peux prouvé ce que j’avance

    Origine du nom d’Halloween

    Le nom de la fête des morts pourrait être inspiré de la légende flamande du sire Halewyn…

    A une époque lointaine, en Flandres, vivait le bel Halewyn. C’était un noble seigneur dont la cruauté n’était égalée que par une chose, la pureté de son chant. Ce dernier était magnifique, à tel point que quiconque l’entendait ne pouvait s’empêcher de suspendre ses gestes et de l’écouter, charmé. De nombreuses jeunes filles quittèrent la demeure de leurs parents pour suivre cette voix, les petits enfants disparaissaient dans les bois. Tous ceux-là, jamais on ne les revit.

    Le roi de l’époque avait une fille aussi belle que fière. Elle aimait braver le vent et galoper le long des plages sur son cheval favori, elle admirait les flammes qu’elle jugeait semblables à elle. Enfant d’une lignée de guerriers, elle maniait aussi les armes et s’entraînait avec les hommes. Un jour qu’elle était près de la mer, elle entendit le chant d’Halewyn, qui pour elle entonnait les chansons les plus belles et les plus émouvantes. Le cœur chaviré, la princesse se rendit auprès de son père pour le prier de la laisser partir auprès de l’élu de son cœur.

    Bien entendu, le roi refusa. La jeune fille réitéra sa demande auprès de chacun des membres de sa famille. Elle parvint finalement à convaincre son frère de la laisser agir à sa guise.

    La princesse se rendit dans sa chambre afin de se préparer. Elle revêtit un habit somptueux et de riches parures, car elle préparait ses noces. Puis, elle alla à l’écurie et sella son cheval favori. Enfin, elle enfourcha sa monture et partit à la rencontre de son bien-aimé.

    Au milieu de la forêt, elle le trouva qui l’attendait.

     » Te voici, si belle pour moi, princesse ! Ce que j’avais entendu sur tes charmes n’est que bien inférieur à la vérité. Suis-moi en ma demeure.  »

    Ils se mirent en route en devisant joyeusement, et les animaux regardèrent passer ce couple magnifique qui semblait si heureux.

    Après avoir parcouru bien des chemins dans la forêt, ils arrivèrent au domaine du seigneur et descendirent de leurs montures. Il sembla à la jeune fille apercevoir du coin de l’œil une forme blanche dans les airs. Levant les yeux, elle vit une femme pendue se balancer doucement à une branche. Regardant autour d’elle, elle s’aperçut que tous les arbres du domaine portaient de semblables fruits.

    Halewyn se tourna vers elle.

     » Vois-tu, ma princesse, je t’aime trop, et je désire ne te partager jamais avec personne, que la mort. Lorsqu’elle aura fermé tes beaux yeux, ils ne regarderont jamais un autre homme, et tu seras mienne pour toujours. »

    Tremblante, mais ne voulant pas manifester sa frayeur, la jeune fille demanda :

     » Je suis fille de roi, la corde n’est pas digne de roi. Une descendante de nobles guerriers ne peut mourir que par l’épée.

    • Il en sera fait selon tes désirs, ma bien-aimée.
    • Bien. Mais cependant, il serait fort dommage que le sang que vous allez verser puisse tacher la blanche tunique tissée pour vous par votre mère. Retirez-la donc.  »

    Halewyn fit passer la tunique par-dessus sa tête, mais dans ce mouvement l’épée qu’il portait à sa ceinture glissa. La princesse s’en saisit promptement et, d’un mouvement habile, trancha le chef de son fiancé. La tête roula à terre, mais pouvait encore parler.

     » Noble enfant, va dans les champs et sonne de mon cor, que mes amis l’entendent et accourent à mon aide.
    • Non, je n’irai pas et ne sonnerai pas de votre cor, car je suis à présent votre épouse et c’est moi seule qui resterai auprès de vous.
    • Si tu ne sonnes pas du cor, va au pied de cet arbre là-bas et prends l’onguent qui s’y trouve, puis recolle ma tête sur mon corps.
    • Non, je n’irai pas, je suis à présent votre épouse et je resterai ici avec vous.  »

    Elle prit la tête et alla la laver à la fontaine, puis l’enveloppa dans un linge. Elle remonta sur son fidèle cheval qui était restée là, et repartit joyeusement par la forêt, portant la tête sous son bras. A l’orée des bois, elle croisa une vieille femme qui leva la tête vers elle.

     » Noble jeune fille, n’auriez-vous pas vu mon fils Halewyn ? je devais le retrouver en ces lieux.
    • Désormais vous ne verrez plus votre fils, vieille femme. Car il est mort, et voici sa tête !  »

    Alors la mère du cruel seigneur poussa un cri et tomba au sol, car elle aimait son fils malgré les crimes de celui-ci.

    La fille du roi revint en la demeure de ses parents qui, la croyant perdue, étaient en train de la pleurer. Tous au château la retrouvèrent avec joie, mais s’étonnèrent qu’elle ait pu échapper à Halewyn, car elle était la première. Elle ne donna pas d’explication, et son père ordonna un grand festin. La princesse conserva ses vêtements de noces.

    Au repas, elle sortit la tête du linge et la posa devant elle à la table, sans un mot. Elle évida ensuite la tête du seigneur et plaça à l’intérieur une bougie. Puis elle mangea aux côtés de son époux, et tous la regardaient. Ainsi disparut le cruel et bel Halewyn, qui plus jamais ne chanta pour conduire les jeunes gens à leur perte.

    Le nom d’Halewyn est également à l’origine du nom de la ville de  » Halluin « , en Flandre française.

    ~Darkiliane Suky~ Publié le : 31/10/2005

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  7. AvatarEurosix dit :

    Bonjour Djinnzz,
    Après avoir lu tous les commentaires et votre article, je préfère votre histoire à la légende du Nord ! Pourquoi ? Je n’en sais fichtre rien !!
    Ai-je gardé mon âme d’enfant ??
    Merci et à plus (tiens ? Aurais-je rajeuni ?) !!

    • AvatarDjinnzz dit :

      Bonjour Eurosix !
      Merci pour vos commentaires qui me font toujours autant plaisir !
      Amitiés,

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