[Spleen] Pourquoi les poètes du XIXe étaient-ils si tristes ?

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6 Réponses

  1. AvatarVee dit :

    « Bien souvent, ce sont finalement le sens de la vie et les valeurs anciennes qui se perdent. »

    Un peu comme maintenant, non ?

  2. AvatarBoum dit :

    « Pourquoi les poètes du XIXe étaient-ils si tristes ? »

    Mais elle complètement con ta question. La réponse est tellement évidente :

    – Parce que ça donne un genre… Le genre « poète maudit » – Fuck la société – tu peux pas comprendre c’que j’dis, j’suis trop profond pour toi
    (aujourd’hui, ces gens-là se recouvrent la gueule de fond de teint, portent des jeans troués et écoutent du Marilyn Manson à longueur de journée)
    (juge pas, tu peux pas comprendre)

    – Parce que la gaieté ça va bien 5 minutes, mais c’est très vite chiant à force. Comme une chanson de Grégoire.
    (Toi, plus moi, plus lui, plus elle, plus tous ceux qui sont seuls… ♪♫)
    (c’est juste pas possible)

    – Parce qu’être triste, ça donne une bonne raison de se bourrer la gueule
    (et de fumer de la drogue)

    – Parce que la peur et la tristesse, c’est plus vendeur que la joie et les youpi-tralala
    (y’a qu’à écouter les hommes politiques parler – pas un ne parlent un peu de positif)
    (CQFD)

    Bon ben voilà, je vous ai déjà donné 4 putains de bonne raison. Me remerciez pas, putain.
    (et la chanson de Grégoire que je vous ai mis dans la tête, c’est cadeau)

    • AvatarBalthazar Faust dit :

      Je prie pour que ce soit une plaisanterie.

  3. AvatarEole dit :

    Il n’y a qu’à voir leur photo tout en haut de la page… Pas un ne sourit, tous font la gueule. C’est frappant.

    • AvatarSylvie dit :

      Lamartine esquisse un semblant de sourire… Mais vraiment très léger !
      La tristesse, ça donne de la profondeur aux gens.

  4. Avatarpoaime dit :

    ppda (il ne sourit pas beaucoup non plus) décrit si bien la poésie dans son l’introduction de son livre « et puis voici des fleurs »
    « il faut lire la poésie, c’est un acte de salubrité personnelle que la sécurité sociale devrait pouvoir rembourser. Il faut aussi continuer à en écrire, car c’est ainsi qu’on évacue les trop-pleins d’émotions qui parfois nous submergent… »
    ces quelques lignes résument toute la poésie.
    Parfois quelques mots suffisent
    pour rendre les minutes exquises…

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