Petite histoire des bouquinistes…

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Spritz92

Amateur d'Histoire et de Paris

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8 Réponses

  1. AvatarMarie dit :

    Cette petite balade le long de la Seine était bien agréable… merci ! 🙂

  2. AvatarShinji dit :

    Je ne passerai plus devant eux de la même façon ! :p

  3. Avatarfeuvrier dit :

    Un bel instant historique sur cette profession qui mérite notre soutien.
    …et une promenade le long des quais de bon matin (article lu ce dimanche à 7h. ). Merci

  4. AvatarJo dit :

    « – Une évolution de la clientèle qui est maintenant à 80% étrangère et n’est guère concernée par les livres anciens.
    – La désaffection des jeunes qui ne sont plus guère intéressés (des exceptions existent, heureusement!) et le vieillissement de la clientèle traditionnelle.
    – L’arrivée de très nombreux documents tirés en milliers d’exemplaires venant souvent de Chine.
    – La multiplication des « ouvre-boîtes » qui se contentent de vendre des souvenirs de pacotille à quelques euros… »

    C’est fou comme nos traditions, même les plus simples, sont perverties. La société change, c’est certain, mais certainement pas en mieux.

    Personnellement, quand je visite un pays, je fais toujours un crochet par une librairie, et si possible un bouquiniste ou un disquaire. C’est une façon de saisir l’âme du pays, d’en connaître une autre facette. Mais le tourisme « de masse » ne permet plus de prendre son temps pour découvrir ainsi un pays…

    Bon, les libraires traditionnels sont en grosse difficulté… ce n’est pas étonnant que les bouquinistes suivent le même chemin. Hélas…

  5. AvatarEthaniel dit :

    > Peut-on imaginer un lien avec le mot anglais « book », lui-même proche de l’allemand « Buch »? Cela ne semble pas le cas.
    Si si, il y a un lien ;).
    Mais en passant en fait par le néerlandais, dont l’anglais et l’allemand sont de toute façon proches :
    • http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/bouquin/10595 : moyen néerlandais *boeckijn, diminutif de boec, livre ;
    • http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/visusel.exe?s=250696620;r=1;sol=0; : Empr. à un dimin. du m. néerl. boec « livre » […], il est indiqué de supposer un dér. *boeckijn

  6. AvatarSpritz92 dit :

    Merci de cette précision concernant l’origine du mot « bouquin ». C’est l’intérêt de l’échange !

  7. AvatarBenj dit :

    Alors voilà un article qui démystifie des personnages qui ont représenté un vrai mystère pour moi depuis que je suis enfant ! Les bouquinistes ! Mais qui sont donc ces gens qui occupent les bords de Seine avec ces petites boîtes vertes pleines de livres ? Je me toujours imaginé autour des bouquinistes ésotérisme et autres savoirs que seuls certains initiés peuvent se transmettre.
    Je découvre avec cet article tout un monde, bien plus ordonné que je ne l’imaginais, avec ses règles. Et ils ont essemé dans d’autres villes du monde ?! Génial, un grand merci !

    PS : Après le « Étale Ta Culture » j’inaugure le « Ramène Ta Fraise » avec le fait qu’il est impropre de dire qu’un article d’un texte de loi « stipule » quelque chose (dans la partie Réglementation). Ce verbe est à employer à propos des termes d’un contrat. Lorsque l’on évoque un texte de loi (ou un arrêté en l’occurrence), il faut dire que l’article untel « dispose »… Fin du « Ramenage de Fraise » 😀

    • AvatarDjinnzz dit :

      Merci pour vos commentaires toujours aussi intéressants à lire ! 🙂

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